mercredi 29 mai 2024

Pub ! encore un autre blog !



Disparates, vracs et notules

https://disparatesvracsetnotules.blogspot.com/


(lui non plus n'est pas en marge avec les autres liens, je n'arrive pas à le placer...)

je recopie ici l'Avertissement : 

Valéry dit (à peu près ; il faudrait aller vérifier…) que les idées ne coûtent rien, que c'est la mise en forme qui prend du temps et des forces. J'en tire les conséquences en mettant ici en ligne, sans souci de forme, d'ordre, de cohérence, de style, de domaines, de fréquence, de quantité – en bref, sans souci de quoi que ce soit, des idées non développées, des remarques intéressantes ou inintéressantes, des bribes qui me viennent à l'esprit, qui passent sous mes yeux ou qui hibernent dans mon disque dur. Entre griffonnages sur le calepin et un Tel Quel au petit, tout petit, pied. Une Désobligeante en miettes...




vendredi 24 mai 2024

Pub !


  Je n'arrive pas à ajouter un nouveau lien dans la liste de mes blogs. En voici l'adresse : 

https://leverbicrucistemasque.blogspot.com/

Il est bien moins littéraire que les autres, plus ludique (mot ancien pour dire "fun"). Un petit texte d'explication se trouve dans le Jeu n° 1. Il s'agit d'une façon de faire des mots croisés de façon (un peu) interactive, par indices masqués en encre blanche, révélables par sélection. 


samedi 18 mai 2024

Couturier & Nabokov

J'ai toujours eu des réserves (les réserves prudentes d'un amateur moyennement éclairé) concernant Maurice Couturier comme traducteur, commentateur et annotateur de Nabokov. 

À lire l'article de Yaël Pachet dans EAN sur le Cahier de l'Herne consacré à Nabokov, je vois que je ne suis pas tout à fait seul à être réticent :


"On reste consterné par certaines remarques de Maurice Couturier qui trouve le moyen de ne parler que de lui-même, se réclamant de Roland Barthes et de son fameux article sur la mort de l’auteur (tout en précisant que Barthes prendra des distances avec ce texte, si bien qu’on ne voit plus en quoi ceci est censé éclairer cela), nous racontant la présence de Barthes à sa soutenance de thèse. Couturier rouspète, prenant peut-être le Cahier de l’Herne pour une tribune de Libération, contre ses détracteurs, en premier lieu l’hilarante Anne Garréta qui, il faut l’avouer, s’est impeccablement payé sa tête dans Le Monde du 21 janvier 1994. Quelques pages plus loin, Agnès Edel-Roy remet les choses en place : dans le documentaire (Arte) Lolita, méprise sur un fantasme, Couturier déclare avec assurance : « avec ce cas de pédophilie, je dirais presque, d’une certaine manière, qu’il a peut-être voulu se débarrasser du fantasme qui l’habite lui-même ». « Absolument rien, dans la biographie de Nabokov, ne permet d’étayer cette hypothèse », précise  Agnès Edel-Roy."